Quand je respire, que je suis une respirante, je ne sais plus très bien à quoi écrire me sert.
Des milliers de mots se cognent entre mes os, l'air qui entre les dilue ensemble dans une grande joie pleine de vent, de hochements d'arbres, de lumières et leurs coucous - à moins que ce ne soit les hirondelles qui coupent le ciel du campus de l'Université américaine.
Je regarde certains vivre de leur colère, comme d'un salaire.
Et je ne tiens plus à être payée, moi.
mercredi 15 juillet 2009
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1 commentaire:
merci Diala. pour tes mots.
G.
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